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Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 14:38
par JGab
Pas forcément... Je ne sais pas pour les autres, mais je suis nettement plus fort à l'écrit qu'à l'oral.

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 14:56
par mounette
:pouce:

Vous etes des bons les gars ;)

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 15:42
par Azazel
JGab a écrit :Pas forcément... Je ne sais pas pour les autres, mais je suis nettement plus fort à l'écrit qu'à l'oral.
Mais si.. vu ton délire ici tu ne peux qu'être délirant en groupe :cote:

Puis on vas te faire jouer au kinito (y'a une page Kinito sur facebook :mrgreen: ) et ca vas t'aider a te liberer :hehe:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 22:24
par klerete
Kinito ????


Qui a Dit Kinito ???



:ghee: :ghee: :ghee:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 23:28
par JGab
Sur ce, et attendant que Bothrop vienne relever les copies, j'ai une seconde version à proposer.

Attention ! Ce texte n'est pas pour toutes les zoreilles (hop ! référence ! :mrgreen: ), ni pour tous les neuils ! Mais la vérité historique m'interdit de cacher au Public des faits aussi importants. Zapez ce message, si vous ne vous sentez pas prêts. Vous voici prévenus.

Le héros de cette histoire est en fait une héroïne. Noémie Ursula Laguiche, dite "l'aguicheuse" était une jeune femme accorte, très sexy. Quand, au restaurant, elle passait devant une table occupée par des garçons, c'était automatique : la table se mettait à léviter à 10-20 cm du sol. Le phénomène était étonnant, et elle aurait pour cela mérité d'entrer dans le Livre Guiness des Records. Mais celui-ci n'existait pas encore, ce qui est dommage.

Elle devait cependant quand-même entrer dans l'Histoire, d'une autre manière.

Vous l'aurez deviné, Noémie Ursula Laguiche plaisait beaucoup aux hommes. Et elle le leur rendait bien, ce qui indique combien la nature est bien faite. On disait d'elle qu'à chacun de ses jours suffisait son mâle. Et il est de fait qu'on ne la voyait jamais au bras du même homme d'un jour sur l'autre.

Mais évidemment, personne ne savait ce que ressentaient ces hommes qu'elle prenaient puis jetaient comme des kleenex (qui eux non plus n'existaient pas, d'ailleurs). Et cette jeune-femme était en réalité aussi détestée par les garçons que par les filles.

Les femmes la haïssaient parce qu'elles la considéraient comme une fille de mauvaise vie, susceptible de dévoyer leurs maris, de les détourner de leur famille, et de les vouer à l'Enfer. Les hommes la haïssaient parce que, soit ils ne pouvaient pas l'avoir (ce groupe était néanmoins fort petit), soit ils ne pouvaient pas la garder.

Un jour, quelques hommes revanchards décidèrent de lui faire payer les tourments qu'elle leur avait infligés, en lui donnant une bonne leçon. Ils se réunirent, l'enlevèrent, et inventèrent pour elle le concept de "tournante".

La jalousie des femmes atteint alors son paroxysme. Les initiales de Noémie Ursula Laguiche étant "NUL", elles dirent d'elle que "la nulle avait eu le cul bordé de couilles". Mais cette critique acerbe et méprisante, destinée à la clouer au pilori devant la France entière, était aussi entachée d'envie.

Par la suite, le "c" se transforma en "n", on ne sait pas exactement pourquoi. Probablement par l'entremise de gens bien-pensants que l'énormité du mot effrayait. Et l'expression revêtit le sens de "avoir de la chance", car c'est exactement ce que pensaient les femmes qui avaient inventé l'expression : "Elle a de la chance, cette garce ! Elle a eu le cul bordé de couilles, elle !"

Merci de votre attention.

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 23:44
par mounette
8/ hum hum... Pas top cette histoire... Enfin, je me la boucle parce que on pourrait croire que je m' enflemme de nouveau ;) On devient un rien féministe avec l'age ... :lolol:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 23:45
par JGab
Je l'ai écrite en réaction à vos réflexions, justement. :hehe:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 23:49
par mounette
8/ Ah bon ???? J'avais pas compris ??? 8/ 8/ 8/ Prends nous pour des blondes à fortes poitrines pendant que tu y es ! :-D :lolol:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 25 sept. 2011, 23:53
par JGab
Dans quelques jours, les nouveaux qui débarqueront ne verront pas le lien. Là, au moins, ils auront peut-être l'idée de le chercher.

Quelle taille, les bonnets ? :mrgreen:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 26 sept. 2011, 00:00
par mounette
Mon tour de tete ? :froid: : 57 ! :mrgreen: C'est moche mais ça tiens chaud en hiver... :lolol:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 26 sept. 2011, 06:23
par BOTHROP'S 56
:ghee: Hé JGab!!! t"en prend de la place!!!!!

je vous envoie la 1ere solution qui est sans doutes la plus plausible :whistling: pour la 2nde faudra attendre demain,car j'ai un boulot ! moi.... :diable: :mdr3:

Autrefois, les Mamma et les nourrices accrochaient de saintes médailles au linges des petiots(pas le docteur! :ange: ) pour leur porter chance,d'où l'expression "avoir le cul bordé de Médailles"(encore en usage dans certaines régions!)

mais l'église n'appréciant pas le rapprochement :amen: ,certains ont modifié l'expression pour en faire "avoir le cul bordé de nouilles" :diable:

pour la deuxième ,patience!!! faut que j'aille Bosser :pleur4: :pleur4: :pleur4:

P.S. la deuxième plaira à JGab :diable: :diable: :diable:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 26 sept. 2011, 08:10
par JGab
BOTHROP'S 56 a écrit :mais l'église n'appréciant pas le rapprochement :amen: ,certains ont modifié l'expression pour en faire "avoir le cul bordé de nouilles" :diable:
Je suppose que les médailles étaient des médailles pieuses, donc des saints... C'est donc que, dans l'esprit populaire, les saints sont des nouilles... Rapprochement qui, lui, n'a pas choqué l'Église... Intéressant. :hehe:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 27 sept. 2011, 05:56
par BOTHROP'S 56
:icon_coucou: bien vu! :pouce:

la deuxième solution est peu ragoutante... Quoique plausible :]

cela remontrai à l'époque du bagne où des petites frappes,voulant bénéficier de passe-droits et autres faveurs :-D (donc,avoir de la chance!en ces temps difficiles! :ange: ) usaient et abusaient (SIC!) de la sodomie.....

Ce qui leur occasionnait des crises hémorroÏdaires carabinées!!! :berk1:

Après examen médical ,les carabins trouvaient une certaine ressemblance entre des nouilles et les hémorroÏdes ,leurs sujets d'observations étant toujours vivants cela prouvait qu'ils avaient de la chance!! :ghee: :ghee:

d'où l'expression "avoir le cul bordé de nouilles"

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vous reprendrez bien un peu de pâtes à la Carbonara???? :mdr3: :mdr3: :mdr3:

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AMIS DE LA CULTURE.... MERCI!!!!!! :ange: :whistling: :mdr3:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 28 sept. 2011, 05:34
par BOTHROP'S 56
X( VOYONS JGab !!! un peu de retenue,que Diable !!!! X(
JGab a écrit :Quelle taille, les bonnets ?
tu n'as pas honte?!

Re: Scribo ergo legas

Publié : 28 sept. 2011, 07:49
par JGab
Bah euh...

Nan. :]

Re: Scribo ergo legas

Publié : 28 sept. 2011, 08:10
par Azazel
C'est crade :hehe:

Donc selon toi, un cul bordé de nouilles serait un cul bordé de b...es... 8/ Drôle de vision de la chance quand on y pense...

"Oué!!! Super!!! Aujourd'hui j'ai le cul bordé de bi..!!!!! Coool!!!!" 8/ :0

Re: Scribo ergo legas

Publié : 28 sept. 2011, 08:39
par mounette
BOTHROP'S 56 a écrit :X( VOYONS JGab !!! un peu de retenue,que Diable !!!! X(
JGab a écrit :Quelle taille, les bonnets ?
tu n'as pas honte?!
Heureusement que t'es là Bothrop's ... Y'a du laissé aller en ce moment :0

Re: Scribo ergo legas

Publié : 29 sept. 2011, 05:33
par BOTHROP'S 56
:ghee: que veux tu mounette!!!! :ghee: C'est l'Andropause qui le travaille!!!! :diable: :diable: :diable:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 01 oct. 2011, 12:39
par JGab
Bah alors ? Plus personne ?

Je propose deux questions, tiens :
  1. Ecrit-on "maison de plein-pied" ou "maison de plain-pied", et pourquoi ?
  2. D'où vient l'expression "Battre sa coulpe" ?

Re: Scribo ergo legas

Publié : 01 oct. 2011, 12:55
par rider
JGab a écrit :Bah alors ? Plus personne ?

Je propose deux questions, tiens :
  1. Ecrit-on "maison de plein-pied" ou "maison de plain-pied", et pourquoi ?
  2. D'où vient l'expression "Battre sa coulpe" ?
maison de plain-pied ou de plat-pied.maison sans étage.
battre sa coulpe,ben pas d'idées.

Re: Scribo ergo legas

Publié : 01 oct. 2011, 13:05
par Ludoo
coulpe... coulpa
mea coulpa

j'suis dans le bon?

Re: Scribo ergo legas

Publié : 01 oct. 2011, 13:09
par JGab
@Ludoo : T'es dans le bon, oui, mais pourrais-tu apporter explications plus étayées ? ;-) Tu expliques le mot "coulpe", ok, mais pourquoi la bat-on ?

@rider : Exact, c'est "plain-pied". Mais n'as-tu pas quelque précisions à apporter ? Ne pourrais-tu broder un peu ? L'écriture "plein-pied", bien que fausse, trouve sa justification dans le passé, par exemple.

Re: Scribo ergo legas

Publié : 02 oct. 2011, 07:17
par BOTHROP'S 56
8/ plain-pied n'aurai pas de rapport avec plateau??

D'où le verbe aplanir,à moins qu'il y ai un rapport avec " plaine" :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 02 oct. 2011, 09:16
par JGab
Ce soir, je complèterai les réponses, si elles ne sont pas tombées avant.

plain, plaine, plan, ... ont la même racine latine : "planus", qui voulait dire "plat" ou... "plan". On n'a rien inventé. :hehe:

Voui, mais... ce fameux "plein-pied" ? Il est faux, ok. Et la confusion vient souvent de ce qu'on ne réfléchit pas toujours assez en écrivant (évidemment qu'un pied est plein, sinon il aurait du mal à nous soutenir ! :mrgreen: ) et qu'on a souvent tendance à aller au plus simple. Mais en plus, il correspond à une expression qui a existé. Pas d'info là-dessus ?

Re: Scribo ergo legas

Publié : 02 oct. 2011, 10:21
par BOTHROP'S 56
:-D y'a pas à dire,faut mettre les piedsdans leplat!!!!
tiens,ça me fait penser qu'autrefois le sol des maisons était aplani à l'occasion d'une grande fête où tous le monde dansait!! ce qui donnait un sol en terre battue... :whistling:
chose impossible s'il y avait un étage! :-D

Re: Scribo ergo legas

Publié : 02 oct. 2011, 12:25
par JGab
Vouaip, à l'étage on préférait la technique de l'agréage, qu'on pratiquait avec les produits du terroir. Dans les fermes d'élevage, par exemple, on utilisait du lait de vache, qui durcicait en caillant. D'où l'expression "à l'étage", déformation de "à laitage".

:mrgreen:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 02 oct. 2011, 22:55
par JGab
JGab a écrit :Ce soir, je complèterai les réponses, si elles ne sont pas tombées avant.
Bon bah c'est parti.
  1. Ecrit-on "maison de plein-pied" ou "maison de plain-pied", et pourquoi ?

    Rider ne s'y est pas trompé, on écrit bien "de plain-pied". "Plain", venu (comme plaine, plan...) du latin "planus", qui signifiait "plat", "plan".

    Mais l'expression "plein pied" a existé, et signifiait "à grands pas". On la trouve notamment dans un texte du 11ème siècle : "Hue s'est tant avancié que il vait avant, cuntre, plein pié !", que tout le monde aura bien-sûr traduit ( :mrgreen: ) par "L'homme s'est tellement avancé qu'il le rejoint à grands pas !".

    Bon, je ne suis pas certain que la traduction soit parfaitement exacte, d'autant que la phrase est sortie de son contexte, mais elle me semble correcte. "Hue" n'est pas le complément de "Dia", mais un mot d'ancien anglais qui (au sens figuré) signifiait "le personnage". Et "cuntre" est une écriture alternative du mot "contre" qui, dans cette phrase, signifie "à la rencontre". Et, bien-sûr, "plein pié" pour "à grands pas".
  2. D'où vient l'expression "Battre sa coulpe" ?

    Ce coup-ci, c'est Ludoo qui a trouvé : "coulpe" vient effectivement de "culpa", qui a donné "culpabilité" et signifiait "faute".

    Pour compléter, il reste à citer le credo "mea culpa, mea maxima culpa" : c'est l'acte de contrition du catholique reconnaissant ses fautes devant Dieu. Il doit normalement le prononcer en se frappant la poitrine (mais je doute qu'on le fasse encore de nos jours).

    D'où l'expression "battre sa coulpe".

Vala vala vala...

Maintenant, je rends la main. Poser des questions ne m'intéresse pas trop, c'est broder tout et n'importe quoi sur de fausses réponses qui m'amuse. Alors j'espère que quelqu'un relèvera le gant.

Re: Scribo ergo legas

Publié : 03 oct. 2011, 04:56
par BOTHROP'S 56
:hehe: bon ben je m'y colle :hehe:

on ne va pas PINAILLERpour si peu....N'est-ce pas JGab??? :whistling: :whistling:

Re: Scribo ergo legas

Publié : 03 oct. 2011, 13:50
par JGab
En attendant de trouver une explication...



D'abord nous fîmes la fête pour nos fiançailles,
Puis vint le mariage où je t'épousai, ma caille,
Prélude à la ponte d'une nombreuse marmaille
Pour laquelle nous reçûmes une belle médaille.

Mais à quoi nous servait ce petit attirail,
Face aux jérémiades de tout ce bétail,
De cette petite armée de viles canailles
Qui dans toute la maison semaient la pagaille ?

Supporter une escouade de bébés qui braillent
Réclamant encore et encore leur boustifaille,
Couinant et hurlant pour recevoir leur mangeaille,
Exige des parents qu'ils aient une bonne gouaille.

Comment donc s'occuper de toutes ces ouailles,
Comment diriger toute cette bleusaille,
Comment survivre à leurs continuelles mitrailles,
Qui nous précipitent vers nos funérailles ?

Quoi, mes vers de mirliton ?!! X( J'aime pas ceux qui pinaillent ! :faché1:
Alors un conseil : lâche-moi et rentre au bercail !

A moins que tu ne veuilles subir mes représailles
Et puis pleurer ta mère au cours d'une bataille
Au cours de laquelle tu verras ton vil poitrail
Se vider de tout son sang par deux-mille entailles ?

Bye.












































Nan, mamour, cœur de mon cœur, pas tap.... Aie !!!

Re: Scribo ergo legas

Publié : 04 oct. 2011, 00:40
par JGab
Encore une fois, c'est Père l'aigle noir qui est venu m'apporter un élément de réponse. Et bien qu'il m'ait souvent induit en erreur par le passé, je ne peux m'empêcher de relayer sa version.

On peut déjà trouver un élément de la réponse dans les vers de mirliton précédents. Que racontent ces vers ? La lassitude d'un père de famille nombreuse, dont les pauvres oreilles fatiguées sont perpétuellement irritées par les cris continuels et stridents de ses enfants. Car telle est la caractéristique principale de ces marmousets : ils sont criards, ils piaillent.

Et tels sont également les oisillons dans leur nid, qu'ils soient de moineau ou d'aigle : ils piaillent pour réclamer leur pitance, il piaillent pour attirer l'attention de leurs parents, ils piaillent pour que ces même parents éprouvent l'envie irrésistible de les faire taire en les nourrissant encore et encore, ils piaillent pour exister, ils piaillent pour bouffer, ils piaillent pour piailler.

Ils piaillent parce que c'est leur nature.

Tout ça parce que leurs parents n'ont pas su se retenir ; moment d'égarement ; envie irrésistible de se reproduire ; instinct parental ; volonté qu'un jeune aiglon prenne un jour le relai d'un aigle aux plumes blanchies par l'âge et raconte des histoires encore meilleures que celles de son ancêtre ; rêves d'immortalité par les gênes, puisqu'on ne peut l'atteindre directement ; désir de se voir grandir soi-même à travers un autre ; tentatives de corriger les erreurs commises par ses propres parents, de voir si l'on peut faire mieux qu'eux ; besoin de câliner et protéger ; que sais-je d'autre ?...

Toujours est-il que, pour Père l'aigle comme pour Père mirliton, la vie ressemble aujourd'hui à un concert de piaillements. Père l'aigle pourrait s'envoler au plus haut du ciel avec Mère l'aigle, Père mirliton pourrait s'envoler pour Rome, Montezuma ou les chutes Victoria. Au lieu de cela, ils se battent pour nourrir leur marmaille qui piaille, et piaille, et piaille !... Tout ça, finalement, à cause d'un (pardonnez cette liberté de langage, mais elle est étymologiquement nécessaire)... à cause, donc, d'un coup de pine. Ou de plusieurs, plutôt.

Alors s'associent les deux mots... les enfant qui piaillent... pine... pinaillent... Les enfants qui pinaillent, jamais contents, toujours à en vouloir plus, toujours à jouer sur les mots, à chercher la petite bête, à... pinailler.

Et hop ! CQFD. Merci, Père l'aigle noir, tu peux t'envoler maintenant, et retourner voir tes adorables bambins.